Un Nouvel Essor, mais pour qui ?
Vient un temps où le risque de rester à l'étroit dans un bourgeon est plus douloureux que le risque d'éclore. Anaïs NIN
Si vous avez conscience d'un problème d'addiction ou de dépendance pour vous même ou pour une personne proche.
Ce site propose des ressources textuelles, audio et video construites sur une expérience de thérapeute, d'ancien patient et formateur en connaissance de soi.
Une offre de formation est en outre proposée aux professionnels du soin et de l'accompagnement en addictologie basées sur les techniques d'établissement du rapport issues de la PNL (Programmation Neuro Linguistique) :
Augmenter l'efficacité du lien et insuffler la confiance lors de l'entretien motivationnel
Jusqu'où irez-vous ?
ADDICTIONS et DEPENDANCE
La dépendance, une maladie chronique du rapport à soi.
Contrairement à une idée répandue, la dépendance n’est ni une maladie de la volonté, ni un vice, mais le fruit d’une grande souffrance survenue pendant la période de construction de l’identité.
Parce qu’au moment de l’apparition de cette souffrance, due à un deuil, une injustice, une sur-responsabilisation, une maltraitance, un abandon, la jeune personne n’a pas bénéficié de l’écoute et de l’entourage affectif rassurant nécessaires à son développement, elle a tenté de se couper de ses émotions pour survivre. Elle y est parfois parvenue, mais au prix fort : faute de modèle rassurant et structurant auquel s’identifier, la jeune personne livrée à elle-même a développé une rustine sur un trou identitaire. Plus tard, cette réparation de fortune aboutira à certains comportements débilitants, souvent délétères, et rarement reconnus pour ce qu’ils sont. Et lorsque le système de dépendance est installé, le mécanisme de la récompense dans le cerveau est modifié.
La dépendance est une maladie chronique comme le diabète, le cancer ou l’eczéma. Une maladie qui se développe sur une longue durée, avec des phases (voir plus loin le cercle motivationnel de Prochaska et Di Clemente), des cycles, des temps de crise et de rémission.
La dépendance est une maladie de la relation à soi, une maladie de l’identité, de l’image de soi, de la façon de se sentir signifiant.
Personnellement, je crois que la dépendance est le pendant macro comportemental du développement cellulaire anarchique. Ces deux maladies chroniques sont les traductions d'un paradoxe humain : lorsque une personne n'arrive pas à faire mieux, c'est à dire à modifier son comportement, alors elle a d'abord tendance à faire encore et encore ce qu'elle faisait avant. F. Couppey
Comme pour d'autres maladies chroniques comme le diabète ou le cancer, la personne qui souffre d'une addiction passe régulièrement par une succession d'états internes, de façon cyclique.
A l’origine de la dépendance, on trouve une problématique de honte et de culpabilité.
Dans la famille, l’existence d’une maladie chronique (cancer ou autre) engendre le sentiment de culpabilité : une mère cancéreuse se culpabilise de ne pouvoir s’occuper de ses enfants. Les enfants vivent la honte de ne pouvoir inviter leurs amis…
Alcoolisme, addiction au jeu, workoolisme et burn-out, toxicomanie, procrastination, orthorexie. Extrémismes religieux, politiques ou sportifs. Anorexie, boulimie, comportements compulsifs sont autant de formes, de symptômes de la dépendance psycho affective.
CONNAISSANCE ET ESTIME DE SOI
L'estime de soi peut se définir par l'écart existant entre l'image que nous avons de nous-même et l'image de notre moi idéal. Il est tout à fait possible d'apprendre à mieux se connaître et ce faisant, nous voyons croître notre estime de soi.
Bien qu'ils soient aussi aisés à décrire que rarement enseignés, les outils objectifs de connaissance de soi sont nombreux. Leur prise en main est agréable et dynamisante. Leur utilisation étonne et éveille à un niveau de conscience de soi plus élevé.
Des Ateliers de Connaissance de Soisont proposés chaque semaine à l'hôpital de l'Arbresle. Plusieurs fois par an, le stage de fin de semaine Nouvel Essor propose d'avancer sur le chemein de la connaissance et l'estime de soi. Enfin, des stages d'une à deux semaines associant yoga et méditation ou des retraites jeûnées sont proposés au printemps et à l'automne.
Des enseignements et initiations sur plusieurs dimensions et différents niveaux. Choisissez celui qui vous convient. Le risque que vous prenez, c'est de mieux vous connaître. Sur votre chemin d'évolution personnelle, vous verrez grandir votre estime personnelle. Jusqu'où irez-vous ?
La méditation zen est une méditation dont la pensée est absente.
Il existe plusieurs sens au mot méditation, il existe plusieurs formes de méditation. Méditation boudhiste et son équivalent laïque Méditation de pleine conscience consistent en une concentration de l'attention sur un point, une pensée, une émotion, un souffle… On peut parler d'une attention convergente. La méditation zen est une méditation dont la pensée est absente. Dans une attitude cette fois-ci divergente, cette forme de méditation relève du principe taoïste de Non Agir, le (Wu Wei). Je pense donc je suis disait Descartes. Je cesse de penser et c'est le début du zen.
Chacun est en mesure de méditer. Ce n'est pas toujours facile, ni spectaculaire, mais c'est une voie vers l'éveil et l'apaisement.
SÉANCES de MÉDITATION
Chaque début de semaine à La Chapelle sur Coise, pendant une heure, un petit groupe se réunit pour méditer. On vient chaque semaine ou par quinzaine. Parfois, des personnes nous rejoignent pour essayer la méditation, il arrive même ensuite qu'elles reviennent.
Tarif : 5 € par séance ou 20 € la carte de 5 séances.
Les séances ont lieu les mardis de 18h45 à 19h45.
Chaque jour, une petite phrase pour inspirer.
Initiations reiki : chacun peut devenir un praticien reiki. Une initiation est toutefois nécessaire afin de canaliser et utiliser cette force vitale. L’initiation de premier degré dure deux jours. Elle aborde les aspects pratiques, théoriques et historiques du Reiki ainsi que les procédures rituelles qui lient l’élève à la lignée des Maîtres Reiki. Le premier degré permet de se soigner soi-même et de soigner ses proches.
Le reiki est une méthode de soin basée sur l'idée de force universelle. Celui qui pratique le reiki croit qu'il est possible d'accéder à cette force et de l'utiliser pour soigner le corps et l'esprit. Le concept et la réalité de la force vitale ont été reconnus par de nombreuses cultures depuis des milliers d'années. Si au Japon, on l'appelle Ki, en Chine on parle du Chi, en Inde du Prana et en Egypte antique du Ka. Les croyances et pratiques liées au reiki ont été redécouvertes au Japon par Mikao USUI à l'orée du vingtième siècle avant d'essaimer vers l'Occident via Hawaï et la Californie dans les années cinquante et soixante.
Un soin reiki se reçoit habillé et allongé. Le soin complet consiste en une succession d'appositions des mains sur une vingtaine de zones spécifiques. Le praticien place les paumes de ses mains au contact ou à une dizaine de centimètres de la personne. La force vitale drainée participe au rétablissement et à l'harmonisation énergétique.
Souvent, dès le début du soin, la personne sent l'énergie couler en elle comme une onde de chaleur douce et apaisante. Et si l'effet du soin n'est pas toujours immédiat, il peut pour certains, être massif et soudain.
Si vous souhaitez plus d'informations sur les soins et les inititiations Reiki, vous pouvez visiter le site dédié :
Site Reiki
Le reiki agit sur l’anxiété, les insomnies et sur la douleur physique. Des patients soignés par radiothérapie témoignent de nettes diminutions des effets secondaires après quelques séances de reiki.
